Suzuki s’emballe à l’idée de lancer la plus grosse voiture de sa gamme, la toute nouvelle Suzuki Kizashi .
Le nom Kizashi signifie essentiellement « quelque chose de remarquable arrive », et avec une telle appellation, je m’attends à quelque chose de remarquable de la part de cette voiture.
Quand il s’agit de voitures de marque, Suzuki n’a pas la cote ici au Canada, ni même en Amérique du Nord d’ailleurs.
À un moment donné, il y a de ça plusieurs années, Suzuki vendait la berline intermédiaire Verona au Canada. Elle ne vous dit probablement rien : très peu d’exemplaires ont été vendus et il en reste encore moins sur la route. J’espère vraiment que Suzuki a appris du passé et opéré de sérieuses modifications sur sa nouvelle berline.
Le segment intermédiaire compte pour un peu plus de 20 % de tout le marché du pays, et la Kizashi devra se démarquer si elle espère faire concurrence aux Toyota Camry , Honda Accord , Subaru Legacy et Nissan Altima, déjà très populaires.
Avant d’empocher les clés pour un essai d’une semaine, j’avais entendu très peu parler de la Kizashi. Je n’avais pas consulté d’autres journalistes et n’avais pas vu d’autres essais… ni même une annonce! C’est donc avec l’esprit grand ouvert que je l’abordais, ne sachant pas vraiment comment Suzuki fait la promotion de son nouveau modèle.
De l’extérieur, cette berline a fière allure. Elle arbore des lignes simples et nettes. Elle est bien proportionnée, du devant jusqu’à l’arrière. Un beau gros S chromé orne la calandre grillagée, elle se chausse de série de jantes de 18 pouces, ses phares se fondent parfaitement à la ligne du capot et l’extrémité du coffre légèrement retroussé fait office d’aileron.
Toutes les activités de recherche et développement pour ce modèle ont été pratiquées en Europe : il n’est donc pas surprenant qu’elle ressemble à une Volkswagen. Concernant son look, dans la catégorie, je crois que la Kizashi arrivera en tête de liste.
Son train arrière est plutôt athlétique, et j’adore les gros embouts d’échappement chromés.
Fait très intéressant à noter, cette berline ne propose qu’un degré de finition et est donc assortie d’une étiquette unique frisant les 30 000 $. L’acheteur n’a pas un gros choix à faire : on l’aime telle quelle ou on ne l’achète tout simplement pas!
Le nom Kizashi signifie essentiellement « quelque chose de remarquable arrive », et avec une telle appellation, je m’attends à quelque chose de remarquable de la part de cette voiture.
Quand il s’agit de voitures de marque, Suzuki n’a pas la cote ici au Canada, ni même en Amérique du Nord d’ailleurs.
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Suzuki s’emballe à l’idée de lancer la plus grosse voiture de sa gamme, la toute nouvelle Suzuki Kizashi. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |
À un moment donné, il y a de ça plusieurs années, Suzuki vendait la berline intermédiaire Verona au Canada. Elle ne vous dit probablement rien : très peu d’exemplaires ont été vendus et il en reste encore moins sur la route. J’espère vraiment que Suzuki a appris du passé et opéré de sérieuses modifications sur sa nouvelle berline.
Le segment intermédiaire compte pour un peu plus de 20 % de tout le marché du pays, et la Kizashi devra se démarquer si elle espère faire concurrence aux Toyota Camry , Honda Accord , Subaru Legacy et Nissan Altima, déjà très populaires.
Avant d’empocher les clés pour un essai d’une semaine, j’avais entendu très peu parler de la Kizashi. Je n’avais pas consulté d’autres journalistes et n’avais pas vu d’autres essais… ni même une annonce! C’est donc avec l’esprit grand ouvert que je l’abordais, ne sachant pas vraiment comment Suzuki fait la promotion de son nouveau modèle.
De l’extérieur, cette berline a fière allure. Elle arbore des lignes simples et nettes. Elle est bien proportionnée, du devant jusqu’à l’arrière. Un beau gros S chromé orne la calandre grillagée, elle se chausse de série de jantes de 18 pouces, ses phares se fondent parfaitement à la ligne du capot et l’extrémité du coffre légèrement retroussé fait office d’aileron.
Toutes les activités de recherche et développement pour ce modèle ont été pratiquées en Europe : il n’est donc pas surprenant qu’elle ressemble à une Volkswagen. Concernant son look, dans la catégorie, je crois que la Kizashi arrivera en tête de liste.
Son train arrière est plutôt athlétique, et j’adore les gros embouts d’échappement chromés.
Fait très intéressant à noter, cette berline ne propose qu’un degré de finition et est donc assortie d’une étiquette unique frisant les 30 000 $. L’acheteur n’a pas un gros choix à faire : on l’aime telle quelle ou on ne l’achète tout simplement pas!
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Son train arrière est plutôt athlétique, et j’adore les gros embouts d’échappement chromés. (Photo: Lacey Elliott/Auto123.com) |