Anthony Hamilton a conseillé à son fils Lewis, pilote de l’écurie Mercedes AMG, d’apprécier le défi et la pression que représente sa lutte au Championnat du monde de Formule 1.
Lewis Hamilton a remporté la victoire à Singapour le week-end dernier tandis que son principal rival dans la course au titre, son coéquipier Nico Rosberg, devait encaisser un abandon très coûteux.
Hamilton prend donc la tête du classement avec une mince avance de trois points sur Rosberg.
En interview avec Press Association Sport, Anthony Hamilton, le père de Lewis, sent que son fils a attaqué la saison 2014 dans un état d’esprit fort différent que lors des années précédentes.
Lewis essaie d’avoir un peu plus de plaisir, dit-il.
« Il possède un plan cette saison, et il le gère lui-même. Il sait ce qu’il veut, et il gère cela très bien », de dire Anthony.
« Il m’est parfois arrivé de lui rappeler ‘quand on y songe un peu, nous sommes en Formule 1, un sport incroyable. Ne l’oublie jamais, et apprécie chaque minute de chaque journée », de dire Anthony Hamilton.
« Il connaît de mauvaises journées, mais vous savez, cela n’a pas d’importance, car nous sommes au sommet du sport le plus excitant au monde. S’il y a une forte pression, c’est le bonus qui accompagne la victoire. Mais c’est le genre de vie qu’il doit apprécier à fond, car il n’y sera pas très longtemps. C’est agréable de gagner, mais la clé est d’apprécier cette vie, et c’est ce qu’il fait », de poursuivre papa Hamilton.
Ce dernier a été aux côtés de son fils depuis ses débuts en sports mécaniques, que ce soit en karting, en Formule Renault 2.0, en Formule 3, en série GP2 et en F1. Il avoue que la pression qu’il vit est toujours difficile à accepter.
« À titre de parent, vous désirez que votre enfant ne se fasse pas mal et qu’il arrive à réaliser ses rêves », de poursuivre Hamilton père.
« Ce désir viscéral n’a pas changé. Je l’ai connu quand Lewis partait du fond de grille en karting. Je fixais son casque jaune et je me disais ‘vas-y, double-le, allez ! »
« Quand il gagne, c’est une sensation formidable. Mais le niveau de stress est exactement le même, que ce soit en karting ou en F1. C’est irréel. Je ressens la même inquiétude, la même douleur que j’ai connues au long de toutes ces années. Moi qui croyais que c’était terminé ! » de confier Anthony Hamilton.
Lewis Hamilton a remporté la victoire à Singapour le week-end dernier tandis que son principal rival dans la course au titre, son coéquipier Nico Rosberg, devait encaisser un abandon très coûteux.
Hamilton prend donc la tête du classement avec une mince avance de trois points sur Rosberg.
Lewis Hamilton, vainqueur à Singapour. (Photo: WRi2) |
En interview avec Press Association Sport, Anthony Hamilton, le père de Lewis, sent que son fils a attaqué la saison 2014 dans un état d’esprit fort différent que lors des années précédentes.
Lewis essaie d’avoir un peu plus de plaisir, dit-il.
« Il possède un plan cette saison, et il le gère lui-même. Il sait ce qu’il veut, et il gère cela très bien », de dire Anthony.
« Il m’est parfois arrivé de lui rappeler ‘quand on y songe un peu, nous sommes en Formule 1, un sport incroyable. Ne l’oublie jamais, et apprécie chaque minute de chaque journée », de dire Anthony Hamilton.
« Il connaît de mauvaises journées, mais vous savez, cela n’a pas d’importance, car nous sommes au sommet du sport le plus excitant au monde. S’il y a une forte pression, c’est le bonus qui accompagne la victoire. Mais c’est le genre de vie qu’il doit apprécier à fond, car il n’y sera pas très longtemps. C’est agréable de gagner, mais la clé est d’apprécier cette vie, et c’est ce qu’il fait », de poursuivre papa Hamilton.
Anthony Hamilton fêtant la victoire de Lewis à Monza, avec l'équipe Mercedes. (Photo: WRi2) |
Ce dernier a été aux côtés de son fils depuis ses débuts en sports mécaniques, que ce soit en karting, en Formule Renault 2.0, en Formule 3, en série GP2 et en F1. Il avoue que la pression qu’il vit est toujours difficile à accepter.
« À titre de parent, vous désirez que votre enfant ne se fasse pas mal et qu’il arrive à réaliser ses rêves », de poursuivre Hamilton père.
« Ce désir viscéral n’a pas changé. Je l’ai connu quand Lewis partait du fond de grille en karting. Je fixais son casque jaune et je me disais ‘vas-y, double-le, allez ! »
« Quand il gagne, c’est une sensation formidable. Mais le niveau de stress est exactement le même, que ce soit en karting ou en F1. C’est irréel. Je ressens la même inquiétude, la même douleur que j’ai connues au long de toutes ces années. Moi qui croyais que c’était terminé ! » de confier Anthony Hamilton.