Auto123.com a récemment discuté avec Laurent Mékies, ingénieur en chef de l'écurie de Formule 1 Toro Rosso, du DRS, le dispositif de réduction de traînée.
Ce système a été instauré en F1 afin de faciliter les dépassements. L'aileron arrière d'une F1 génère beaucoup d'appui aérodynamique, mais conséquemment, beaucoup de turbulences appelées traînée. Cette traînée freine la voiture en ligne droite.
Le DRS permet au volet supérieur de l'aileron de basculer à l'horizontal et ainsi réduire la traînée, ce qui permet une augmentation de la vitesse maximale et facilite donc les dépassements.
En essais et en qualifications, le pilote peut l'activer sans restriction afin d'améliorer des temps au tour. « On n'a pas besoin de simulations pour déterminer quand il faut activer le DRS ! Il faut l'employer partout, sauf dans les virages, évidemment. Ça vaut toujours la peine de l'activer dans les lignes droites », nous explique Mékies.
« Dès que le pilote appuie sur les freins, le volet revient automatiquement dans sa position initiale afin de redonner l'appui aérodynamique nécessaire pour pouvoir freiner correctement. On tient aussi compte du temps que prend les flux d'air à se rattacher une fois le volet revenu en position normale. Il faut compter à peu près une demie seconde », de poursuivre l'ingénieur.
Durant la course, le DRS ne peut être activé n'importe quand. « Il y a des boucles de chronométrage dans le sol qui mesurent les écarts entre les voitures. Quand un pilote est à moins d'une seconde de celui qui roule devant lui au point de détection, cela illumine un témoin lumineux sur le tableau de bord, et le pilote appuie sur le bouton qui active le DRS », précise-t-il.
« La détection ainsi le l'allumage du témoin lumineux se font automatiquement. C'est le système de chronométrage qui détermine si le DRS peut être activé ou pas », d'ajouter Mékies.
Le bouton qui active le DRS est le bleu à droite du pouce. (Photo: Getty Images/Red Bull) |
Ce système a été instauré en F1 afin de faciliter les dépassements. L'aileron arrière d'une F1 génère beaucoup d'appui aérodynamique, mais conséquemment, beaucoup de turbulences appelées traînée. Cette traînée freine la voiture en ligne droite.
Le DRS permet au volet supérieur de l'aileron de basculer à l'horizontal et ainsi réduire la traînée, ce qui permet une augmentation de la vitesse maximale et facilite donc les dépassements.
En essais et en qualifications, le pilote peut l'activer sans restriction afin d'améliorer des temps au tour. « On n'a pas besoin de simulations pour déterminer quand il faut activer le DRS ! Il faut l'employer partout, sauf dans les virages, évidemment. Ça vaut toujours la peine de l'activer dans les lignes droites », nous explique Mékies.
La Toro Rosso STR7 avec le DRS en position fermé. (Photo: Getty Images/Red Bull) |
« Dès que le pilote appuie sur les freins, le volet revient automatiquement dans sa position initiale afin de redonner l'appui aérodynamique nécessaire pour pouvoir freiner correctement. On tient aussi compte du temps que prend les flux d'air à se rattacher une fois le volet revenu en position normale. Il faut compter à peu près une demie seconde », de poursuivre l'ingénieur.
Et maintenant avec le DRS en position ouverte. (Photo: Getty Images/Red Bull) |
Durant la course, le DRS ne peut être activé n'importe quand. « Il y a des boucles de chronométrage dans le sol qui mesurent les écarts entre les voitures. Quand un pilote est à moins d'une seconde de celui qui roule devant lui au point de détection, cela illumine un témoin lumineux sur le tableau de bord, et le pilote appuie sur le bouton qui active le DRS », précise-t-il.
« La détection ainsi le l'allumage du témoin lumineux se font automatiquement. C'est le système de chronométrage qui détermine si le DRS peut être activé ou pas », d'ajouter Mékies.