D'après Renault F1 Team
Un seul baquet par pilote est utilisé par saison, il est donc important de respecter les étapes lors de sa fabrication. Renault F1 résume le processus.
Comme la quasi totalité de la monoplace, le baquet est en fibre de carbone, cela lui confère résistance et légèreté. La première opération est de placer un baquet générique dans le cockpit.
On étend ensuite une large poche que l’on remplit d’un liquide spécial. Au contact de la chaleur, le liquide se solidifie pour former une sorte de mousse compacte…
L’étape suivante fait intervenir le pilote. Il se glisse dans son baquet pour se positionner sur la poche de liquide. Progressivement la matière se solidifie pour former un moule adapté au corps du pilote. Cette étape dure généralement une quinzaine de minutes.
Nous procédons ensuite à l’extraction du moule qui servira de base pour façonner la version carbone du baquet. Une fois que le pilote est satisfait, nous produisons une version de rechange.
Maintenant, comme tout le monde, les pilotes sont soumis à des variations de poids ou de carrure, que ce soit pendant la course ou plus généralement pendant la saison. Il arrive que l’on rajoute ici et là quelques pièces de mousse afin d’assurer un confort toujours maximal à nos pilotes. À noter que nous n’utilisons qu’un seul baquet par saison.
En plus d’être adapté au pilote, le baquet doit répondre à quelques critères liés à la sécurité. Il doit par exemple pouvoir s’extraire alors que le pilote est toujours à l’intérieur de la monoplace. Cela explique la présence de sangles, ces dernières permettent une extraction rapide en cas d’incident.
Un seul baquet par pilote est utilisé par saison, il est donc important de respecter les étapes lors de sa fabrication. Renault F1 résume le processus.
Comme la quasi totalité de la monoplace, le baquet est en fibre de carbone, cela lui confère résistance et légèreté. La première opération est de placer un baquet générique dans le cockpit.
On étend ensuite une large poche que l’on remplit d’un liquide spécial. Au contact de la chaleur, le liquide se solidifie pour former une sorte de mousse compacte…
L’étape suivante fait intervenir le pilote. Il se glisse dans son baquet pour se positionner sur la poche de liquide. Progressivement la matière se solidifie pour former un moule adapté au corps du pilote. Cette étape dure généralement une quinzaine de minutes.
Nous procédons ensuite à l’extraction du moule qui servira de base pour façonner la version carbone du baquet. Une fois que le pilote est satisfait, nous produisons une version de rechange.
Maintenant, comme tout le monde, les pilotes sont soumis à des variations de poids ou de carrure, que ce soit pendant la course ou plus généralement pendant la saison. Il arrive que l’on rajoute ici et là quelques pièces de mousse afin d’assurer un confort toujours maximal à nos pilotes. À noter que nous n’utilisons qu’un seul baquet par saison.
En plus d’être adapté au pilote, le baquet doit répondre à quelques critères liés à la sécurité. Il doit par exemple pouvoir s’extraire alors que le pilote est toujours à l’intérieur de la monoplace. Cela explique la présence de sangles, ces dernières permettent une extraction rapide en cas d’incident.