Mirabel, QC – La semaine dernière MINI nous a convoqués au circuit ICAR, au nord de Montréal, pour le lancement de son nouveau programme de formation en conduite hivernale. Au menu, cinq éléments-clés essentiels à la conduite hivernale, suivis d'une petite séance de course d'autocross pour mettre en pratique ce que nous avons appris dans la journée. Tout ceci au volant des MINI Cooper S et MINI Cooper S Countryman ALL4 2012.
Avec seulement trois cours de conduite avancés sous la ceinture, j’étais très excité à l’idée d’y participer. D'autant plus que cette formation allait être ma première dans la neige, quoi de mieux pour briser la glace (sans jeu de mots) que des petites voitures dociles et maniables.
Comme toute bonne formation professionnelle qui se respecte, la journée commence par un cours théorique d’environ une heure. Plusieurs notions nous sont expliquées avant d'aller en piste, telles que la position de conduite, le travail des pneus en conditions glissantes et les différences des systèmes de traction DTC (Dynamic Traction Control) et DSC (Dynamic Stability Control) de MINI. Le tout est expliqué par l’instructeur-chef, Philippe Létourneau et un invité de renom.
L’invité, nul autre que Rauno Aaltonen que MINI Canada a invité spécialement pour l’occasion. Cet ancien champion de rallye a d'ailleurs remporté le Rallye Automobile de Monte-Carlo en 1967… au volant d'une Mini Cooper. C’est avec intérêt que les gens dans la salle de cours écoutaient le pilote finlandais donner des conseils et des techniques de pilotage. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut discuter avec un pilote légendaire.
En piste!
L’heure de faire tourner les moteurs est venue. Une belle rangée de MINI, composée de cinq Cooper S et cinq Countryman ALL4, nous attendait à notre sortie. Jumelés en paires, mon copilote et moi partons vers notre voiture attitrée, une Countryman, pour le premier exercice de la journée.
La formation commence en douceur dans le but d’apprivoiser les voitures. La première activité consiste à faire quelques tours d’un minicircuit constitué de cônes, avec et sans les systèmes de contrôle de stabilité pour comprendre les divers comportements de notre MINI. On enchaîne ensuite avec le contrôle du dérapage des roues avant et arrière ou, si vous préférez, sous-virage et survirage. Un coup différencié, on pratique surtout le survirage, qui est le plus délicat à contrôler.
Photo : Olivier Delorme/Auto123.com |
Avec seulement trois cours de conduite avancés sous la ceinture, j’étais très excité à l’idée d’y participer. D'autant plus que cette formation allait être ma première dans la neige, quoi de mieux pour briser la glace (sans jeu de mots) que des petites voitures dociles et maniables.
Comme toute bonne formation professionnelle qui se respecte, la journée commence par un cours théorique d’environ une heure. Plusieurs notions nous sont expliquées avant d'aller en piste, telles que la position de conduite, le travail des pneus en conditions glissantes et les différences des systèmes de traction DTC (Dynamic Traction Control) et DSC (Dynamic Stability Control) de MINI. Le tout est expliqué par l’instructeur-chef, Philippe Létourneau et un invité de renom.
L’invité, nul autre que Rauno Aaltonen que MINI Canada a invité spécialement pour l’occasion. Cet ancien champion de rallye a d'ailleurs remporté le Rallye Automobile de Monte-Carlo en 1967… au volant d'une Mini Cooper. C’est avec intérêt que les gens dans la salle de cours écoutaient le pilote finlandais donner des conseils et des techniques de pilotage. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut discuter avec un pilote légendaire.
En piste!
L’heure de faire tourner les moteurs est venue. Une belle rangée de MINI, composée de cinq Cooper S et cinq Countryman ALL4, nous attendait à notre sortie. Jumelés en paires, mon copilote et moi partons vers notre voiture attitrée, une Countryman, pour le premier exercice de la journée.
La formation commence en douceur dans le but d’apprivoiser les voitures. La première activité consiste à faire quelques tours d’un minicircuit constitué de cônes, avec et sans les systèmes de contrôle de stabilité pour comprendre les divers comportements de notre MINI. On enchaîne ensuite avec le contrôle du dérapage des roues avant et arrière ou, si vous préférez, sous-virage et survirage. Un coup différencié, on pratique surtout le survirage, qui est le plus délicat à contrôler.
Photo: BMW |