Dubuc Super Light Car (SLC), basée à Québec, a dévoilé ce matin sa voiture à assembler Tomahawk en version électrique au Salon de l'auto de Québec 2014 – moins de 2 mois après des débuts fracassants à Montréal.
Bien qu'il s'agissait d'un prototype, le président de la compagnie, Mario Dubuc, qui se décrit comme un rêveur, était visiblement ému et fier d'en arriver à ce moment. Dès le démarrage du projet Tomahawk il y a 8 ans, un modèle électrique figurait dans ses plans.
Pour concrétiser son rêve, Dubuc a trouvé 2 partenaires de renom : la firme Gentec, également située à Québec, se chargera de fournir le groupe motopropulseur électrique (incluant la batterie montée à l'arrière), tandis que l'Université de Sherbrooke s'occupera des systèmes de contrôle. Ceci en fait donc une voiture à assembler 100 % électrique et 100 % québécoise.
Si la Tomahawk à essence représente un investissement total d'environ 30 000 $, Mario Dubuc affirme que les acheteurs de la Tomahawk électrique devront débourser le double, soit entre 60 000 $ et 70 000 $.
Toutefois, la beauté de cette voiture sport biplace, c'est son châssis monocoque tout en aluminium jumelé à une carrosserie en polymère très légère, qui contribue à créer un ratio poids/puissance exceptionnel. De plus, l'assemblage s’effectue 8 fois plus rapidement que les modèles conventionnels (environ 250 heures au lieu de 2 000 heures en moyenne).
La production débutera dans quelques mois en vue de livrer les premières Tomahawk électriques dès 2015.
Le maire de Québec, Régis Labeaume, qui a participé au dévoilement, en a profité pour annoncer un investissement de 200 000 $ pour 18 nouvelles bornes de recharge sur le territoire de la ville.
Bien qu'il s'agissait d'un prototype, le président de la compagnie, Mario Dubuc, qui se décrit comme un rêveur, était visiblement ému et fier d'en arriver à ce moment. Dès le démarrage du projet Tomahawk il y a 8 ans, un modèle électrique figurait dans ses plans.
Pour concrétiser son rêve, Dubuc a trouvé 2 partenaires de renom : la firme Gentec, également située à Québec, se chargera de fournir le groupe motopropulseur électrique (incluant la batterie montée à l'arrière), tandis que l'Université de Sherbrooke s'occupera des systèmes de contrôle. Ceci en fait donc une voiture à assembler 100 % électrique et 100 % québécoise.
Photo: Guillaume Rivard |
Si la Tomahawk à essence représente un investissement total d'environ 30 000 $, Mario Dubuc affirme que les acheteurs de la Tomahawk électrique devront débourser le double, soit entre 60 000 $ et 70 000 $.
Toutefois, la beauté de cette voiture sport biplace, c'est son châssis monocoque tout en aluminium jumelé à une carrosserie en polymère très légère, qui contribue à créer un ratio poids/puissance exceptionnel. De plus, l'assemblage s’effectue 8 fois plus rapidement que les modèles conventionnels (environ 250 heures au lieu de 2 000 heures en moyenne).
La production débutera dans quelques mois en vue de livrer les premières Tomahawk électriques dès 2015.
Le maire de Québec, Régis Labeaume, qui a participé au dévoilement, en a profité pour annoncer un investissement de 200 000 $ pour 18 nouvelles bornes de recharge sur le territoire de la ville.