Le Toyota RAV4 ne rajeunit pas.
Après avoir pratiquement lancé la mode des VUS dans les années 90, il a subi deux cures de jouvence et s’est fait rattrapé par une pluie de concurrents provenant des quatre coins du globe.
Avec l’arrivée de l’année modèle 2010, le VUS gagne-pain de Toyota approche la fin de sa troisième génération… mais il continue de tirer son épingle d’un jeu en constante évolution et de plus en plus âprement disputé. En effet, le RAV4 sert toujours de modèle pour les ingénieurs construisant des produits rivaux. Toyota a de quoi être fière.
L’embarras du choix
Pour 2010, on propose à l’acheteur une robe récemment revue ainsi qu’une abondance de modèles et d’options. On a le choix d’une transmission à deux ou quatre roues motrices, ainsi que d’un moteur à quatre ou six cylindres. Le RAV4 se décline également en versions de Base, Sport et Limité, selon le degré de luxe et de style désiré.
RAV4 4RM V6 Sport
L’éventail de moteurs consiste en un quatre-cylindres de 2,5 litres et 179 ch et un V6 de 3,5 litres et 269 ch. Une boîte manuelle à quatre ou cinq vitesses est greffée à l’un ou l’autre de série.
Mon modèle d’essai était un RAV4 Sport V6 à quatre roues motrices, doté d’écussons uniques, de touches chromées, de sièges en cuir chauffants et d’une portière arrière redessinée affranchie du pneu de rechange. Des pneus zéro pression sont inclus, au cas où vous auriez la malchance de rouler sur un clou.
Sur les quelque 1 500 kilomètres que j’ai sillonnés dans le nord de l’Ontario à la fin février, le système 4RM automatique s’affairait au moindre soupçon de patinage des roues avant, actionnant les roues arrière pour augmenter l’adhérence. Le conducteur ne devrait connaître aucune difficulté sur la neige, pourvu qu’il chausse son bolide de pneus d’hiver.
Une relative rareté sur ce marché, le RAV4 profite également d’un dispositif de verrouillage 4x4 par bouton poussoir qui ajoute un peu de mordant préventif. C’est utile quand la charrue laisse trois pieds de neige devant votre entrée, quand vous montez une pente raide ou encore quand vous arpentez un sentier boueux.
Poussant les aptitudes tout terrain promises plus loin, mon modèle d’essai profitait par ailleurs d’un système de contrôle de la descente en pente.
Après avoir pratiquement lancé la mode des VUS dans les années 90, il a subi deux cures de jouvence et s’est fait rattrapé par une pluie de concurrents provenant des quatre coins du globe.
Le RAV4 se décline également en versions de Base, Sport et Limité, selon le degré de luxe et de style désiré.(Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Avec l’arrivée de l’année modèle 2010, le VUS gagne-pain de Toyota approche la fin de sa troisième génération… mais il continue de tirer son épingle d’un jeu en constante évolution et de plus en plus âprement disputé. En effet, le RAV4 sert toujours de modèle pour les ingénieurs construisant des produits rivaux. Toyota a de quoi être fière.
L’embarras du choix
Pour 2010, on propose à l’acheteur une robe récemment revue ainsi qu’une abondance de modèles et d’options. On a le choix d’une transmission à deux ou quatre roues motrices, ainsi que d’un moteur à quatre ou six cylindres. Le RAV4 se décline également en versions de Base, Sport et Limité, selon le degré de luxe et de style désiré.
RAV4 4RM V6 Sport
L’éventail de moteurs consiste en un quatre-cylindres de 2,5 litres et 179 ch et un V6 de 3,5 litres et 269 ch. Une boîte manuelle à quatre ou cinq vitesses est greffée à l’un ou l’autre de série.
Mon modèle d’essai était un RAV4 Sport V6 à quatre roues motrices, doté d’écussons uniques, de touches chromées, de sièges en cuir chauffants et d’une portière arrière redessinée affranchie du pneu de rechange. Des pneus zéro pression sont inclus, au cas où vous auriez la malchance de rouler sur un clou.
Sur les quelque 1 500 kilomètres que j’ai sillonnés dans le nord de l’Ontario à la fin février, le système 4RM automatique s’affairait au moindre soupçon de patinage des roues avant, actionnant les roues arrière pour augmenter l’adhérence. Le conducteur ne devrait connaître aucune difficulté sur la neige, pourvu qu’il chausse son bolide de pneus d’hiver.
Une relative rareté sur ce marché, le RAV4 profite également d’un dispositif de verrouillage 4x4 par bouton poussoir qui ajoute un peu de mordant préventif. C’est utile quand la charrue laisse trois pieds de neige devant votre entrée, quand vous montez une pente raide ou encore quand vous arpentez un sentier boueux.
Poussant les aptitudes tout terrain promises plus loin, mon modèle d’essai profitait par ailleurs d’un système de contrôle de la descente en pente.
Le conducteur ne devrait connaître aucune difficulté sur la neige, pourvu qu’il chausse son bolide de pneus d’hiver. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |