On n’essaie pas un camion de livraison comme on le ferait de tout autre véhicule. Évidemment, pour beaucoup de gens, mon épouse au premier rang, mon essai hebdomadaire du Ford Transit Connect n’avait donc pas sa raison d’être. Après tout, je n’ai aucune envie de devenir livreur, et tester des véhicules commerciaux n’illustre pas exactement mon rôle.
Avouons cependant que le Transit Connect se montre totalement différent. Venu d’Europe, il se distingue par un style qui lui est propre, et par des conformations susceptibles d’être livrées non seulement pour les commerces, mais aussi en version touring, destiné davantage à un usage familial.
Ce qui n’a pas empêché mes amis de se moquer de moi à plusieurs reprises, et mon fils de croire que le laitier faisait désormais des livraisons quotidiennes.
Châssis de Focus
Malgré l’aspect utilitaire et polyvalent du véhicule, c’est sur une plateforme de Focus que l’on a bâti le Transit Connect. Assemblé en Turquie, et importé chez nous, il mise surtout sur sa polyvalence pour se tailler un nom.
En terme de mécanique, le Transit Connect n’est pourtant pas en reste, en matière de fiabilité du moins, puisqu’il peut compter sur un moteur 2 litres Duratec de 136 chevaux déjà bien connu dans la ligne des produits Ford.
Il se jumelle à une élémentaire boîte de transmission à 4 vitesses automatique, qui accomplit sa tâche sinon avec grâce, à tout le moins avec efficacité. Car dans certaines conditions, on souhaiterait fortement un rapport supplémentaire, histoire de mieux accompagner les variations de régime.
Bien pensé
En réalité, ça reste en matière d’aménagement et de fonctionnalité que le Ford Transit Connect veut se démarquer. C’est dans cet esprit d’ailleurs qu’au lancement, au salon de Chicago, on avait présenté quelques déclinaisons de ce camion, aménagé avec des intérieurs différents pour plaire au livreur de pâtisseries au fleuriste, et même au groupe de jazz. On aurait pu aussi y ajouter la version dite familiale, munie d’une banquette arrière et de fenêtres latérales en verre.
En mode commercial, ou en version Touring, le Transit Connect prouve donc sa valeur comme véhicule commercial. |
Avouons cependant que le Transit Connect se montre totalement différent. Venu d’Europe, il se distingue par un style qui lui est propre, et par des conformations susceptibles d’être livrées non seulement pour les commerces, mais aussi en version touring, destiné davantage à un usage familial.
Ce qui n’a pas empêché mes amis de se moquer de moi à plusieurs reprises, et mon fils de croire que le laitier faisait désormais des livraisons quotidiennes.
Châssis de Focus
Malgré l’aspect utilitaire et polyvalent du véhicule, c’est sur une plateforme de Focus que l’on a bâti le Transit Connect. Assemblé en Turquie, et importé chez nous, il mise surtout sur sa polyvalence pour se tailler un nom.
En terme de mécanique, le Transit Connect n’est pourtant pas en reste, en matière de fiabilité du moins, puisqu’il peut compter sur un moteur 2 litres Duratec de 136 chevaux déjà bien connu dans la ligne des produits Ford.
Il se jumelle à une élémentaire boîte de transmission à 4 vitesses automatique, qui accomplit sa tâche sinon avec grâce, à tout le moins avec efficacité. Car dans certaines conditions, on souhaiterait fortement un rapport supplémentaire, histoire de mieux accompagner les variations de régime.
Bien pensé
En réalité, ça reste en matière d’aménagement et de fonctionnalité que le Ford Transit Connect veut se démarquer. C’est dans cet esprit d’ailleurs qu’au lancement, au salon de Chicago, on avait présenté quelques déclinaisons de ce camion, aménagé avec des intérieurs différents pour plaire au livreur de pâtisseries au fleuriste, et même au groupe de jazz. On aurait pu aussi y ajouter la version dite familiale, munie d’une banquette arrière et de fenêtres latérales en verre.
Un moteur 2 litres Duratec de 136 chevaux déjà bien connu propulse le Ford Transit Connect. |