Le petit gros
Infiniti a choisi de gonfler aux stéroïdes la version précédente de son utilitaire sport. Si on cherche l'effet massif, on l'a, mais on abandonne l'aspect pratique. Au volant, vous n'avez plus un seul point de repère pour circuler et garer votre petit gros. C'est pourquoi on l'a bardé de gadgets électroniques pour vous mener à bon port.
Espace de chargement
La ligne tombante du pavillon réduit encore plus l'espace de chargement. Infiniti voulait créer un sportif, elle le fait aux dépens de son côté utilitaire. Il faut compter sur les dossiers rabattables pour y loger le matériel et les courses. Pour ma part, j'ai également trouvé le seuil du coffre trop élevé pour y glisser des objets. Mais une visite à IKEA m'a confirmé que le FX35 pouvait quand même répondre aux besoins d'un acheteur de bibliothèques.
Confort
Le FX35 possède un excellent système de ventilation bizone qui garde l'habitacle confortable. Les sièges avant manquent un peu de maintien dans le haut du dos : question de morphologie peut-être. À l'arrière, on compte sur un bon dégagement, mais les dossiers se révèlent beaucoup trop lourds quand vient le temps de les rabattre ou de les relever.
L'une des forces du FX35 réside dans son confort sur la route. À notre grande surprise, ses occupants jouissent d'un roulement doux même sur des routes bosselées. Mais les pneus viennent gâcher la tranquillité de l'habitacle tellement ils sont bruyants. On peut difficilement profiter de l'excellent système de divertissement BOSE.
Poste de pilotage
Dans un FX, il s'agit bien d'un cockpit où le pilote a accès à une série de gadgets innombrables pour le pilotage. Un certain nombre de commandes sont bien placées, aisées à identifier et d'accès facile, notamment celles qui sont montées au volant et dans la console centrale. Mais les commandes placées sous le tableau de bord sont hors du champ de vision du conducteur. Il faut alors tâter pour les trouver. Le bouton qui permet de désactiver le système de transmission intégrale, notamment, est difficile à repérer. Son emplacement est très ennuyeux, car il faut toujours le désengager au départ. Pourquoi, je ne l'ai pas compris. Il serait utile de l'engager quand il pleut ou quand on roule sur des routes enneigées ou de gravier. Mais là, il faut le désengager car une sonnerie nous rappelle qu'on roule sur le sec, et que son activation est inutile. Une erreur de programmation ?
Infiniti a choisi de gonfler aux stéroïdes la version précédente de son utilitaire sport. Si on cherche l'effet massif, on l'a, mais on abandonne l'aspect pratique. Au volant, vous n'avez plus un seul point de repère pour circuler et garer votre petit gros. C'est pourquoi on l'a bardé de gadgets électroniques pour vous mener à bon port.
En raison de ses formes, on demeure sur le qui-vive en circulation urbaine. |
Espace de chargement
La ligne tombante du pavillon réduit encore plus l'espace de chargement. Infiniti voulait créer un sportif, elle le fait aux dépens de son côté utilitaire. Il faut compter sur les dossiers rabattables pour y loger le matériel et les courses. Pour ma part, j'ai également trouvé le seuil du coffre trop élevé pour y glisser des objets. Mais une visite à IKEA m'a confirmé que le FX35 pouvait quand même répondre aux besoins d'un acheteur de bibliothèques.
Confort
Le FX35 possède un excellent système de ventilation bizone qui garde l'habitacle confortable. Les sièges avant manquent un peu de maintien dans le haut du dos : question de morphologie peut-être. À l'arrière, on compte sur un bon dégagement, mais les dossiers se révèlent beaucoup trop lourds quand vient le temps de les rabattre ou de les relever.
L'une des forces du FX35 réside dans son confort sur la route. À notre grande surprise, ses occupants jouissent d'un roulement doux même sur des routes bosselées. Mais les pneus viennent gâcher la tranquillité de l'habitacle tellement ils sont bruyants. On peut difficilement profiter de l'excellent système de divertissement BOSE.
Poste de pilotage
Dans un FX, il s'agit bien d'un cockpit où le pilote a accès à une série de gadgets innombrables pour le pilotage. Un certain nombre de commandes sont bien placées, aisées à identifier et d'accès facile, notamment celles qui sont montées au volant et dans la console centrale. Mais les commandes placées sous le tableau de bord sont hors du champ de vision du conducteur. Il faut alors tâter pour les trouver. Le bouton qui permet de désactiver le système de transmission intégrale, notamment, est difficile à repérer. Son emplacement est très ennuyeux, car il faut toujours le désengager au départ. Pourquoi, je ne l'ai pas compris. Il serait utile de l'engager quand il pleut ou quand on roule sur des routes enneigées ou de gravier. Mais là, il faut le désengager car une sonnerie nous rappelle qu'on roule sur le sec, et que son activation est inutile. Une erreur de programmation ?
Dans un FX, il s'agit bien d'un cockpit où le pilote a accès à une série de gadgets innombrables. |